#1
technique est une extension de l'anthropomorphique, chose qui nous a échappée dès qu'on a entamé la "révolution" industrielle.
l'humain, jéjune de nature et absorbé dans son hubris a permi la transfiguration de l'essence du technique, laissez la machine faire la quasi-totalité d'un labeur aliéné et dénuée de toute authenticité et vous obtiendrez une codépendance ; le "milestone" pour ce qui viendra suite.
technique ne connaît guère aucune limite, le physique ne lui a suffit que jadis et c'est la conquête du psychique qui s'entame simultanément ou bien due à une causalité suivant l'advent du circuit éléctrique.
ARPANET, gouverneur d'une conscience collective conditionnée à un Weltanschauung thanatique. singularité de l'intelligence artificielle, le "endgame" de la technique.
ce medium (message) vêtu de simulacres et faustien de nature, n'est qu'une extension et d'une façon peu ambiguë un dévoilement de l'Id (nos chères remerciements à l'anonymat).
#2
Julius Evola (mis à part ce qui doit être dit par rapport à ses idées) à fait une reporche critique dans sa "Révolte contre le monde moderne" à propos de la déviation de notre vocation existentielle de l' "être" au "devenir".
Ignorant était-il n'ayant pas prémunit l'avènement d'un nouveau mode d'existence ; si caractéristique est-il de la nature machinique et technique de notre société de consommation, régie par la loi d'excès et d'une économie libidinale menée à un potentiel abusif.
On est désormais privé de l'être et dans des proportions assez importantes du devenir ; ce qu'on a devant nous maintenant c'est l' "apparaître" : la persona prise comme modèle et idéal dans un monde constamment influencé par un flux perpétuel d'imagerie saturée et simulacre-esque, l'imaginaire lacanien pouvons-nous dire aussi.
L'individuel est réduit à un "dividuel" ; un chiffre éphémère et "mostly" d'une nature binaire (0/1) nôs chères remerciements aux sociétés du contrôle, citons Deleuze.
solution ? indéterminée, possibilité d'un chevauchement du tigre.
#3
notre fascination avec le morbide, thanatique et tout ce qui induit l'annihilation du soi en premier lieu et du non-soi ainsi ; est elle même chose fascinante
cette soif pour l'annihilation réjouit de constituer une partie importante dans l'intégralité de nos activités machiniques ; son output est une jouissance cathartique, sa réalisation est une réalisation d'un Seit qui nous à été privé par la société disciplino-contrôle.
nôtre constitution physiologique jéjune n'as pas subit un changement radical vis-à-vis nos ancêtres, on s'orgasme toujours à la vue du sanguin, à la ouïe du torment. ce qui était gladiatorisme et brutalité corporelle est devenu sport et compétition.
la part maudite nous à seulement fait illusion de civilité, fraternité et égalité ; "gloire à la violence !" chantons toujours en harmonie Sadiste.